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FONDATION JÉRÔME SEYDOUX-PATHÉ

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Séance spéciale

Cinémathèque16 : "Sept ans de malheur", Max Linder, 1921

A l'occasion de ce rendez-vous les spectateurs parisiens ont la chance de voir des films rares projetés dans de véritables copies des années 1920, sur le bel écran de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé ! Alors qu’il est impossible de projeter des copies 35 mm d’époque, le support nitrate étant hautement inflammable, les copies argentiques en 16 mm - proposées par Cinémathèque16 - le permettent. Les films âgés de presque 100 ans, parfois avec des teintages d’époque sont précédés d’une présentation détaillée de la copie et de son histoire…



Sept ans de malheur, Max Linder, 1921 (1h)

Copie proposée par Cinémathèque16

La séance est présentée par Benoît Carpentier*

(durée de la présentation environ 20min)


Auréolé de gloire en France et inspirateur avéré de Charles Chaplin, Max Linder tente sa chance et s'installe à Hollywood en novembre 1919. Avec sa société Max Linder Productions, il se met immédiatement au travail avec la contribution obligatoire des équipes techniques locales et dès le 6 février 1921 sort sur les écrans son premier film américain, le chef d'œuvre du burlesque, 7 ans de malheur ! Son goût pour le loufoque, l'ébriété, l'absurde et les animaux sauvages y est poussé à son paroxysme et le film rencontrera un succès considérable. La copie argentique de cette séance, issue des collections de Cinémathèque16, a été tirée dans les années 1930 et présente un état de conservation exceptionnel.

Alors ne manquez pas l'occasion rare d'admirer l'exceptionnelle performance de Max Linder lors d'une séance s'approchant des conditions originales !


*Benoît Carpentier est conservateur et programmateur à Cinémathèque16 depuis sa fondation en 2017. Ses activités l'ont poussé à l'étude du format 16 mm, notamment l'histoire de son exploitation commerciale et non-commerciale des années 1920 aux années 1980. La découverte d'un pan méconnu de l'expérience cinématographique en salle et dans des lieux alternatifs le pousse à présenter au public des copies toujours plus anciennes, originales et singulières tout en proposant une contextualisation approfondie au cours de conférences, de présentations de copies mais aussi de matériel d'époque.


La séance est accompagnée par un pianiste issu de la classe d'improvisation de Jean-François Zygel

(Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris). 



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