La séance du 9 février est présentée par Bernard Eisenschitz*.
1926 - 1h10
Allemagne
Réalisation : G. W. Pabst
Scénario : Colin Ross, Hans Neumann
Photographie : Guido Seeber, Curt Oertel, Walter Robert Lach
Production : Neumann-Film-Produktion GmbH (Berlin)
Avec : Werner Krauß, Ruth Weyher, Ilka Grüning, Jack Trevor, Pawel Pawlow, Hertha von Walther, Renate Brausewetter, Colin Ross
Lorsqu’un chimiste apprend que le charmant cousin de sa belle épouse revient d’Inde après une longue période, il se met à faire des cauchemars terribles rêvant notamment qu’il poignarde sa femme.
« Certains plans qui reproduisent les rêves d’un refoulé, n’auraient jamais pu être tournés sans le style expressionniste. C’est dans ce style que Pabst a découvert les moyens de donner un relief lumineux et irréel aux objets ou aux personnages, de déformer la perspective architecturale et de fausser les proportions relatives des éléments de ce monde. »
L’Écran démoniaque, Lotte H. Eisner, Paris, Ed. Ramsay, 1985, p.33
Format de la copie : 35 mm
Provenance de la copie : Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung, Wiesbaden
La séance du 18 janvier est accompagnée par Camille Taver, pianiste issu de la classe d'improvisation de Jean-François Zygel (CNSMDP).
La séance du 9 février est accompagnée par Satsuki Hoshino, pianiste issu de la classe d'improvisation de Jean-François Zygel (CNSMDP).
*Historien du cinéma, critique et programmateur, Bernard Eisenschitz est également l'auteur de Roman américain, Les Vies de Nicholas Ray (1990), Man Hunt de Fritz Lang (1992), Fritz Lang la mise en scène (dir.,1993), Gels et Dégels, Une autre histoire du cinéma soviétique, 1926-1968 (dir., 2000) et Le Cinéma allemand (1999, 2008).