1910 (5min)
Production et édition : Pathé frères
Max rentre très éméché. Il pénètre tour à tour dans divers appartements qui ne sont pas le sien et se fait mettre à la porte avec fracas.
1910 (5min30)
Production et édition : Pathé frères
Scénario : Max Linder
Max négocie avec un marchand de chevaux l’acquisition d’une jument. Il trouve à l’animal beaucoup de défauts et il écrit un mot au vendeur en lui expliquant pourquoi il n’achète pas sa jument. Il se trouve qu’il reçoit au même moment une lettre de son futur beau-père qui l’invite à dîner. Il lui répond mais se trompe d’enveloppe.
1911 (8min30)
Réalisation et scénario : Max Linder
Production et édition : Pathé frères
Avec : Max Linder, Pierre Palau, Baron fils, Léonie Yahme
Un soir, Max, fatigué par une longue chasse, décide de rentrer chez lui par le chemin le plus court et traverse les terres du baron Fitz. Un garde l’aperçoit. Croyant avoir affaire à un vulgaire voleur, il le poursuit. Max, effaré, saute par-dessus un mur, enjambe une balustrade, pousse une fenêtre et se trouve, sans savoir comment, dans la chambre de Lily Fitz, la fille du baron.
1914 (10min45)
Réalisation et scénario : Max Linder
Production et éditions : Pathé frères
Avec : Max Linder, Lucy d’Orbel
Max est marié à une doctoresse. Comme sa femme est très occupée par son métier, c’est donc à lui qu’incombe toutes les affaires du ménage : les courses, la cuisine et la garde du bébé. Mais un jour, Max croit à une intrigue entre sa femme et un client.
1913 (14min)
Production : Pathé frères
Scénario : Max Linder
Max, dont les succès féminins ne sont plus à compter, reçoit une lettre d’une mystérieuse inconnue, lui donnant rendez-vous au bal de l’Opéra. Notre don Juan va choisir un costume, mais déjà tout est loué ; il doit se rabattre sur une armure de chevalier. Enchanté de sa conquête, Max se livre à de joyeuses libations et, le lendemain matin, il est jeté, complètement ivre, à la porte du restaurant.
Toutes les séances sont accompagnées par les pianistes issus de la classe d'improvisation de Jean-François Zygel